On passe d'une chose à l'autre. Très vite. Pas
moyen de s'arrêter une seconde pour désigner le
nuage. Et plus loin : les violences. Personne ici
ne pourrait parler du feu. Tout reste entre nous.
Jamais dit.
On n'est convié à rien puisqu'on n'a pas de
mots.
Que des outils...
C'est tout.
Ecris ton poème maintenant.
Thierry Metz, "Le journal d'un manœuvre".