3 sept. 2010

3/09/10

On passe d'une chose à l'autre. Très vite. Pas

moyen de s'arrêter une seconde pour désigner le

nuage. Et plus loin : les violences. Personne ici

ne pourrait parler du feu. Tout reste entre nous.

Jamais dit.

On n'est convié à rien puisqu'on n'a pas de

mots.


Que des outils...

C'est tout.


Ecris ton poème maintenant.



Thierry Metz, "Le journal d'un manœuvre".